19 septembre 2005
Publicité
Publicité
9 août 2005
Bonjour a tous, Me revoila de retour a Quito avec
Bonjour a tous,
Me revoila de retour a Quito avec Alice apres un bon voyage de plus d'1 mois durant lequel nous avons pu visiter les differents lieux de tourisme communautaire et decouvrir ce magnifique pays qu'est l'Equateur. Aujourdhui est le jour de notre rentree a l'UCT (universite specialites touristiques) lieu de notre stage en equateur. Le travail qui nous attend a present consiste a creer une page Internet destinee a promouvoir les lieux de tourisme communautaire veritables et aptes a recevoir des touristes dans de bonnes conditions.
Ce site de TC Equatorien sera donc rattache a l'UCT et il faudra donc faire en sorte que cela devienne une plateforme de vente du TC par l'intermediaire des etudiants qui effectuent leur stage ici au sein de l'agence de voyage "Planeta UCT" (junior entreprise).
Il sera aussi de notre devoir de faire la promotion de cette plateforme de vente aupres des tours operators de tourisme alternatif et d'ecotourisme en europe et en amerique latine.
Bonne nouvelle, a present je peux mettre les photos du voyage que nous avons effectue ¡
Hasta pronto,
Marc
25 juillet 2005
Hola amigos Alors depuis les dernieres news un
Hola amigos
Alors depuis les dernieres news un bout de chemin a ete parcouru ...Apres la communaute de nuevo olmedo completement au nord du pays sur la cote, nous sommes descendu le long de l ocean pacifique pour se retrouver a la hauteur de puerto lopez environ a la moitie du pays.La Nous avons debarque apres 5 bornes a pattes sur un chemin de fortune dans la communautee d Agua Blanca, ici comme d hab ils n etaient pas au courant de notre visite malgre les appels repetes que j ai pu faire de quito. Bref petit topo sur notre projet et l objet de notre visite et hop on a droit a une petite cabana toute jolie sur piloti en plein coeur de la petite communaute...
Le lendmain nous avons fait la visite du circuit qui a rendu cette communaute "touristique" (a petite echelle) au programme des vestiges de la civilisation pre incas et baignade dans une lagune d 'eau douce... la communaute se trouve dans un parque naturel protege, il est donc d autant plus facile de voir des iguanes, des oiseaux de ttes les couleurs et de manger des fruits de la passion par exemple hehe. Agua blanca fait du tourisme communautaire depuis 25 ans bien avant que ce tourisme soit FAshion (lol) et ils sont reconnus par le ministere du tourisme equatorien comme la plus ancienne communaute touristique bien qu ils ne vivent pas que de ca bien heureusement (agriculture, artisanat..)
Ensuite puerto lopez a 25 minutes de Agua, et la un truc inedit que rarement tu fais dans ta vie en toucas pour moi, on a pris le bato pour aller voir nos amies les Baleines et oui les plus gros mamiferes du monde passent au large des cotes ici pour se reproduire, on les a vu a 10 ou 15 metres au plus pres et vu la taille de la baleine ca fait pres je vous l'assure (photos a l appui)
Apres cette halte je vous l'accorde non de type communautaire mais plus de type plaisir personnel, nous avons visite une communaute une journee seulement du nom de El Pital, eux ont seulement un chemin ecotouristique (singes, orchidees, serpents mais pas vu ces derniers ,,,) et une cabane petite pour recevoir les touristes. Tres proches d agua blanca finalement mais tres different, ici le type de vegetation est bosquedo humedo (humide quoi) ce qui explique une richesse de faune et de flore encore plus marquee...
Ensuite on a continue notre route en longeant la cote direction le sud pour atteindre Manglaralto, ici c du bon , ya des vagues et moi j' aime bien me faire fracasser par les vagues, c est pas le cas d Alice qui se marre en me voyant me faire violenter par dame nature Bref ici c est different car on est dans une petite ville et non un endroit tt paume... En fait ce projet consiste plus en une association qui offre un appui en nature a des initiavies de micro entreprises de type artisanale, restauration, logement... C est donc un projet plus "macro" qui rassemble quelques 250 personnes, cest d'autant plus interessant... A part ca ici on dort avec le bruit des vagues qui me rappel le fracassage du jour et on est seul (pas de toubabs) et on mange du poissons cuisine pour 2 dollars...
Sur notre route nous sommes passe par Guayaquil qui est la capital economique d Equateur et de loin, une nuit nous a suffit mais le bord de mer "Malecon" entierement refait est tres jolie et les parcs sont bourres d'Iguanes et de Carpes de ttes les couleurs (chann serait comme un dingue..)A l heure ou je vous ecrit je suis a Zaruma dans la province de el ORO au sud on est tt pres du perou ici, c anciennement ici ou les gens venaient chercher el oro eh oui, nous avons visite une mine d'or en activite ce matin (ya encore des chercheurs dor mais ils se font rares)¡¡ Sinon ici on est de nouveau dans la montagne a 1200 metres d altitude et le village est plein de charme... Zaruma a la reputation d avoir les plus jolie filles d'equateur, j avoue qu' il ya de jolies fleurs ici...
Sinon demain on repart pour le centre de lequateur mais sur la cordillere...
10 juillet 2005
Sur la route....
Des news mais pas de photos car cyber cafe ne rime pas avec USB ...
Alors comme promis j ai reussi a trouver un internet cafe entre les la mangrove et les bebetes du coin...
Ici le temps passe assez vite car pour l'instant nous avons visite que deux communautees et deja une semaine s'est ecoule truc de fou... Hier grosse journee car nous avons fait 12 heures de bus roulant en moyenne a 42 km heures car s arretant sans cesse pour chopper les gens sur la route et avec la musique latino au taquet (reggaeton dame mas gosolina je crois que vous avez droit a ca aussi en france cet ete) ¡¡
Un couple dans le bus nous a propose de dormir chez eux hier soir a Puerto Viejo ville ou nous nous trouvons a l heure actuelle... Sinon au niveau des impressions et du vecu, la premiere communaute j ai vraiment apprecie car en pleine montagne sur la cordiere des andes a 3000 metresd alititudes en plus ce village de Yunguilla avait vraiment un esprit communautaire dans toute leurs demarches.... En effet ils font du tourisme communautaire mais aussi des vistes ecotouristiques, la fabrication de marmelades, et beaucoup d' artisanat.
Je me suis meme paye le luxe de faire une randonne en solo avec un guide local tres sympathique et en plus de ca interessant repondant au doux nom de galindo hehe.
Sinon ensuite c est la qu a commence les gros trips en bus nous sommes alle rejoindre la communaute de Nuevo Olmedo, le cadre etait super, village de pecheurs dans la nord... nous etions loge dans une cabane assez grande qui a ete finance par une ONg japonaise il y plusieurs annees...
Par contre nous avons pu constater que ce projet de tourisme communautaire est a l abandon car l ONg a fui les lieux car dans ce petit hameau les habitant pensent beacoup tro a leur interet personnel et ont vu en cette structure une source d'enrichissement.... je leur ai fait un topo sur le tourisme communautaire (en espagnol de la cote s il vous plait) mais ceux ci ne sont pas pret pour cela et je leur ait dit car tout le monde parlait sur le dos de tt le monde et ils n attendaient de nous Q une seule chose que l on attire le blanc (ah oui car la bas la population est principalement black, eh oui) toubabs ou gringos au choix pour faire des sous au benefice d'un petit groupe de gens, en gros du tourisme prive ce qui n etait pas l objet de notre visite...
Enfin il est bien que l'on se soit rendu compte de ca en personne et je pense cela fait parti des surprises qui nous attendent lors de notre trip. Tout a l heure c est notre depart pour puerto lopez seulement a 2 heures d'ici ou l on va prendre une petite camionette pour rejoindre la communautes d'Agua Blanca ¡¡
Marc
29 juin 2005
Visites des communautes touristiques Juillet 2005
ECUADOR (CARTE DES REGIONS)
OUEST : Plaines + Ocean pacifique
CENTRE : Montagnes
EST : Amazonie
Nom des localites de Tourisme Communautaire :
1 Agua Blanca
4 Hospederios
10 Guargualla
11 Ikiam Shiwiar
13 Nuevo Olmedo
17 Pital
19 Puertohondo
20 Salinas de Tomabela
24 Tayos
28 Yunguilla
29 Zaruma
30 Ingapirca
32 Indichuris
35 Acllac
Publicité
Publicité
14 juin 2005
Le tourisme: un grand défi pour petites communautés
A l'ère de la mondialisation, le tourisme déborde de ses circuits traditionnels. En Amérique latine, certaines petites communautés rurales sont confrontées à un défi: profiter de l'occasion pour améliorer leurs conditions de vie, mais sans détériorer leur patrimoine.
GENÈVE – Un voyage au cœur de la forêt maya, vers un fleuve regorgeant de caïmans et de piranhas, ou encore vers une petite île tranquille, peut commencer sans aller très loin: il suffit de se rendre sur le site de Redturs sur Internet, où plus d'une centaine de petites communautés, situées dans six pays d'Amérique latine, présentent leurs attractions naturelles et culturelles, et expliquent aux touristes en quête de nouvelles frontières comment arriver jusqu'à elles. L'objectif est de renforcer les capacités des communautés pour qu'elles puissent tirer profit des nouveaux courants touristiques. la Fédération plurinationale de tourisme communautaire de l'Equateur (FEPTCE), l'une des organisations qui participe à Redturs.
Ce «portail de cultures vivantes» n'est pas un guide touristique, mais plutôt le siège virtuel d'un projet de l'Organisation internationale du Travail (OIT) visant à soutenir les communautés indigènes et rurales dans la création d'emplois décents et le développement d'une économie plus respectueuse, du patrimoine culturel et des ressources naturelles.
La possibilité de capter les revenus du tourisme est une conséquence directe du fait que cette activité mobilise un grand nombre de personnes. L'Organisation mondiale du tourisme a publié des chiffres selon lesquels près de 700 millions de touristes ont voyagé à l'étranger en 2003, et ce nombre pourrait atteindre 1 milliard 600 millions en 2020.
«La mondialisation offre des opportunités tout en exerçant des pressions très fortes en matière de compétitivité, d'innovations et de spécialisation» prévient Carlos Maldonado, spécialiste du BIT chargé du projet Redturs, qui concerne, à l'heure actuelle, des communautés de Bolivie, du Brésil, du Costa Rica, de l'Equateur et du Pérou. «Le problème, c'est qu'un grand nombre de ces communautés sont confrontées à la conquête d'un marché nouveau, alors qu'elles sont très limitées sur le plan structurel.»
Redturs, qui a lancé ses opérations en 2001, assume depuis cette année le rôle de secrétariat technique d'un réseau de développement durable visant l'échange d'informations, la diffusion d'expériences de promotion et de commercialisation, la diffusion de connaissances juridiques et de gestion, et l'accès à des services de développement de l'entreprise.
Pendant la dernière réunion des représentants des petites communautés touristiques groupées en réseau, qui a eu lieu à la fin de 2003 au Costa Rica, elles ont clairement fait savoir qu'elles souhaitaient relever elles-mêmes le défi que représente la fourniture de services touristiques. «Nous refusons de vendre ou de céder nos terres à des personnes qui n'appartiennent pas à nos communautés» précise la déclaration, prononcée dans la capitale costaricaine, San José.
«Nous voulons que nos communautés assument le rôle qui est le leur dans la planification, le fonctionnement, la supervision et le développement du tourisme», a dit Rodrigo Flores, président de
Maldonado a précisé que, pour les représentants de ces communautés, «la juste répartition des dividendes qui seront engendrés par le tourisme est essentielle».
Cependant, pour Redturs, la conservation du patrimoine est tout aussi essentielle. La déclaration de San José explique très clairement, puisque les représentants des six pays sont tombés d'accord sur ce fait, qu'en dépit des avantages économiques qu'ils pourraient obtenir, ils sont prêts à suspendre tout projet qui «suppose un fardeau intolérable pour notre population, sa culture et son environnement».
Redturs affirme que, devant l'essor surprenant de la demande d'un tourisme «nature» et de rencontres avec les cultures locales, il faut se donner l'objectif d'un tourisme durable, économiquement viable, responsable sur le plan environnemental, et solidaire sur le plan social. L'un des objectifs fondamentaux du projet est de «créer des opportunités d'emplois décents pour des femmes et des hommes» dans ces communautés qui sont très souvent situées dans des lieux isolés, où les chances de développement économique sont rares.
Un voyage virtuel à travers Redturs, notamment dans sa section «Para el turista» (pour le touriste) permet de se rendre compte de la nature des propositions qu'offre le réseau.
Pour pouvoir profiter réellement de la proposition intitulée «Forêt et pêche au piranha» avec la communauté indigène Huaroni d'Equateur, il faut voyager sept heures depuis Quito, par voie terrestre et par voie fluviale, pour arriver sur un territoire où prédomine la forêt tropicale humide. L'excursion est organisée par Jungal Tour, petite entreprise ayant signé un accord avec la communauté pour développer des initiatives touristiques et soutenir la conservation de l'habitat naturel.
Le paysage est très différent dans les îles de Providencia et de Santa Catalina, en Colombie, où l'offre porte sur des paysages montagneux, une barrière de corail, du folklore et des petites pensions de famille dans les Caraïbes. Les voyages sont organisés par l'Association Ecoastur, qui réunit hôteliers, agences de voyage et restaurants installés dans ces communautés. Ils ont décidé de s'unir «afin d'acquérir leur indépendance en matière de décisions et de faire la différence en matière d'environnement et de culture».
S'agissant de la municipalité de Livingstone au Guatemala, Ak'Tenamit propose un voyage de plusieurs heures depuis la capitale, par voie terrestre et par voie fluviale, pour arriver dans les zones de Tatín et de Quehueche, «au cœur de la forêt tropicale humide des Caraïbes». Cette organisation non gouvernementale travaille avec 30 communautés maya-q'echi'es et, depuis trois ans, elle les fait participer à la prestation de services touristiques pour leur permettre d 'obtenir de nouveaux revenus.
«Il ne s'agit pas d'écotourisme» assure Maldonado «mais de quelque chose de beaucoup plus riche et de plus spécifique». La nature est très importante, mais l'essentiel reste l'échange culturel. «Nous préférons l'appeler tourisme rural communautaire, car ce terme englobe le tourisme ethnique, rural, le tourisme d'aventure, le tourisme historique, naturel, mystique…»
En 2004, l'OIT a obtenu les premiers fonds de coopération technique internationale pour poursuivre ce projet. Redturs s'efforce désormais de consolider les réseaux locaux et nationaux et d'appuyer les activités de promotion et de commercialisation. L'un de ces projets est de créer une marque d'authenticité qui garantisse l'offre de tourisme communautaire, c'est-à-dire l'offre d'une activité économique fondée sur la solidarité, la coopération, le respect de la vie et l'utilisation durable des écosystèmes.
http://www.redturs.com
Publicité
Publicité
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)